Algérie, étincelle des révolutions
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Algérie, étincelle des révolutions
Algérie, étincelle des révolutions
Algérie, étincelle des révolutions,
Les pulsations, le souffle de nos cœurs
Se régénèrent dans la bénédiction
Que verse en nous ta vraie grandeur.
Nul ne peut empêcher ton ciel
De laisser le soleil briller sans arrêt
Pour enfanter le printemps éternel,
Qui comble de joie ta jeunesse dorée.
On s’incline devant les tombes
De tes martyrs, ils nous avaient donné
La méthode pour faire face aux bombes
Lâchées par les intelligences bornées.
Sur toi se concentre notre unique pensée,
Hors de toi, nous serons des corps sans âmes
Qui se perdent dans un univers insensé
Où disparaît l’harmonie des formes.
Embellie par une splendeur antique,
Tu restes à jamais la grâce divine,
Qui rend notre spectacle féerique
Dans le jour sans jouer en sourdine.
Partout où nous portons nos pas, on sent
La terre bouillonner sous nos pieds,
Pour dégurgiter la chair et le sang
Des êtres enterrés vivants par milliers.
En nos têtes retentissent éternellement
Les cris stridents des femmes chastes
Et des enfants tués par l’acharnement
D’une évolution inutile et néfaste
.
Dad Allaoua
Algérie, étincelle des révolutions,
Les pulsations, le souffle de nos cœurs
Se régénèrent dans la bénédiction
Que verse en nous ta vraie grandeur.
Nul ne peut empêcher ton ciel
De laisser le soleil briller sans arrêt
Pour enfanter le printemps éternel,
Qui comble de joie ta jeunesse dorée.
On s’incline devant les tombes
De tes martyrs, ils nous avaient donné
La méthode pour faire face aux bombes
Lâchées par les intelligences bornées.
Sur toi se concentre notre unique pensée,
Hors de toi, nous serons des corps sans âmes
Qui se perdent dans un univers insensé
Où disparaît l’harmonie des formes.
Embellie par une splendeur antique,
Tu restes à jamais la grâce divine,
Qui rend notre spectacle féerique
Dans le jour sans jouer en sourdine.
Partout où nous portons nos pas, on sent
La terre bouillonner sous nos pieds,
Pour dégurgiter la chair et le sang
Des êtres enterrés vivants par milliers.
En nos têtes retentissent éternellement
Les cris stridents des femmes chastes
Et des enfants tués par l’acharnement
D’une évolution inutile et néfaste
.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3676
Date d'inscription : 02/07/2010
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