Mes jours se perdent peu à peu
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Mes jours se perdent peu à peu
Mes jours se perdent peu à peu
Mes jours se perdent peu à peu,
Sur chaque instant qui passe
Jaillissent mille éclairs ténébreux
Pour métamorphoser ma face ;
Les ans ont pour moi leur ombre,
Les nuits plongent mes jours
Dans des cauchemars sombres
En éloignant mon aurore.
Plus je raisonne, plus je saisis
L’absurdité de mon existence
Sur cette nature vaste, fleurie
Et dominée par la malchance.
À chaque fois que je veuille
Chanter, je trouve les cordes
De ma lyre brisées, les feuilles
Séchées rendent toquarde
Le paysage qui enfante l’aube
Et la brise rafraîchissante.
À chaque fois qu’on me dérobe
L’espoir, les épines naissantes
Se multiplient et croissent tôt
Sur la voie menant à la quiétude.
Plus je pense, plus les contrecoups
Me plongent dans la solitude,
Pourtant ! Je sens la fraîcheur
Sans me désaltérer, j’admire
Le soleil sans goûter sa chaleur
Je distingue bien la lumière
Sans palper son éclat, dans
Le néant je me perds, en moi
Toute chose n’est pas claire,
La curiosité me fait souvent
Chanter l’air sobre et solitaire
Dans un monde noir, qui brise
La volonté et oblige à se taire
Sans embrasser sa matière grise.
Dad Allaoua
Mes jours se perdent peu à peu,
Sur chaque instant qui passe
Jaillissent mille éclairs ténébreux
Pour métamorphoser ma face ;
Les ans ont pour moi leur ombre,
Les nuits plongent mes jours
Dans des cauchemars sombres
En éloignant mon aurore.
Plus je raisonne, plus je saisis
L’absurdité de mon existence
Sur cette nature vaste, fleurie
Et dominée par la malchance.
À chaque fois que je veuille
Chanter, je trouve les cordes
De ma lyre brisées, les feuilles
Séchées rendent toquarde
Le paysage qui enfante l’aube
Et la brise rafraîchissante.
À chaque fois qu’on me dérobe
L’espoir, les épines naissantes
Se multiplient et croissent tôt
Sur la voie menant à la quiétude.
Plus je pense, plus les contrecoups
Me plongent dans la solitude,
Pourtant ! Je sens la fraîcheur
Sans me désaltérer, j’admire
Le soleil sans goûter sa chaleur
Je distingue bien la lumière
Sans palper son éclat, dans
Le néant je me perds, en moi
Toute chose n’est pas claire,
La curiosité me fait souvent
Chanter l’air sobre et solitaire
Dans un monde noir, qui brise
La volonté et oblige à se taire
Sans embrasser sa matière grise.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3676
Date d'inscription : 02/07/2010
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