À tous les peuples du monde
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À tous les peuples du monde
À tous les peuples du monde
Je dédie ces quelques mots
À ceux qui souffrent encore
Sous l’ombre d’un rameau
Dans des nuits sans aurore.
Je parle dans ce poème
À tous les gens qui savent
Aimer et refuser le chrême
Mis sur les fronts haves.
À celui qui voit l’horizon
Ouvrir les portes de sa prison
Et le soleil échauffer son corps
Abimé par la sentence du tort.
Toi qui vois les soupirs inquiétants
Salir l’innocence et La pureté
Des âmes, par le silence dégoûtant
Le mal détruit ton humanité.
Entends les cris des oppressés !
Tu sentiras que ta peau
S’irrite des frissons et des maux
Déclenchés par ta sensibilité.
Peu importe ! Que tu sois du sud,
Du nord, de l’est ou de l’ouest,
Aide à désinfecter les paludes
Pour éviter aux peuples la peste.
Citoyen du monde ! Comprends !
Le mal n’a ni nationalité, ni race
Ni religion, il est le rêve long
Et le songe lourd des rapaces.
Attendris le sort de tes frères
Murés dans des antres
À l’abri de la lumière et du vent
Ils baignent dans les afflictions.
Rejette l’égoïsme de ton être !
Ton vrai pays est l’humanité,
En elle, tu sens renaître
L’espoir, l’amour et la pitié.
Suis ton instinct, tu saisiras
Que ton corps frissonnera
Aux peines de tes semblables
Même s’ils seraient haïssables
Evite cette pensée illusoire,
Qui te fera oublier ton devoir,
En se considérant supérieur
À ceux qui ne sont pas des acteurs.
Dad Allaoua
Je dédie ces quelques mots
À ceux qui souffrent encore
Sous l’ombre d’un rameau
Dans des nuits sans aurore.
Je parle dans ce poème
À tous les gens qui savent
Aimer et refuser le chrême
Mis sur les fronts haves.
À celui qui voit l’horizon
Ouvrir les portes de sa prison
Et le soleil échauffer son corps
Abimé par la sentence du tort.
Toi qui vois les soupirs inquiétants
Salir l’innocence et La pureté
Des âmes, par le silence dégoûtant
Le mal détruit ton humanité.
Entends les cris des oppressés !
Tu sentiras que ta peau
S’irrite des frissons et des maux
Déclenchés par ta sensibilité.
Peu importe ! Que tu sois du sud,
Du nord, de l’est ou de l’ouest,
Aide à désinfecter les paludes
Pour éviter aux peuples la peste.
Citoyen du monde ! Comprends !
Le mal n’a ni nationalité, ni race
Ni religion, il est le rêve long
Et le songe lourd des rapaces.
Attendris le sort de tes frères
Murés dans des antres
À l’abri de la lumière et du vent
Ils baignent dans les afflictions.
Rejette l’égoïsme de ton être !
Ton vrai pays est l’humanité,
En elle, tu sens renaître
L’espoir, l’amour et la pitié.
Suis ton instinct, tu saisiras
Que ton corps frissonnera
Aux peines de tes semblables
Même s’ils seraient haïssables
Evite cette pensée illusoire,
Qui te fera oublier ton devoir,
En se considérant supérieur
À ceux qui ne sont pas des acteurs.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3676
Date d'inscription : 02/07/2010
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