J’ai follement envie de rester
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J’ai follement envie de rester
J’ai follement envie de rester
J’ai follement envie de rester
Dans le milieu que tu animes,
Tu suspectes trop ma sincérité
Pourtant de toutes les femmes
Que j’ai connu, toi la plus sage
Et la plus douce, te souviens-tu
Des mots qui tels des mirages
Passaient dans la lueur disparue
De l’aurore. Ah ! Madame,
Je sens que ta mémoire soit
Courte, de toutes les flammes
Me brûlant la tienne est trois
Fois plus forte que les autres,
De toutes les belles maitresses
Que j’ai connu, ton bas-ventre
Est le seul qui chasse la paresse
De mon être. Sans flatterie
Je dis fort, tu es la plus belle !
Ce jour, tu es apparue palie
Par les échos et les querelles
Que les autres disent sans
Raison, pour flétrir le collier
Qui t’embellit gratuitement,
Perturber ton esprit et lier
Ton destin avec l’amertume
De l‘absinthe. Tu sais bien !
Sans la rose qui te parfume
Je disparais vite sans rien
Sentir sur le visage solaire
Qui m’a tellement fasciné.
Me croyant jeune et solitaire
J’ai cru, qu’avec ta fidélité
Tu seras ma sage duègne
Et je serai ton jeune amant
De plaisir tout en étant digne
D’envoûter ton cœur aimant.
Dad Allaoua
J’ai follement envie de rester
Dans le milieu que tu animes,
Tu suspectes trop ma sincérité
Pourtant de toutes les femmes
Que j’ai connu, toi la plus sage
Et la plus douce, te souviens-tu
Des mots qui tels des mirages
Passaient dans la lueur disparue
De l’aurore. Ah ! Madame,
Je sens que ta mémoire soit
Courte, de toutes les flammes
Me brûlant la tienne est trois
Fois plus forte que les autres,
De toutes les belles maitresses
Que j’ai connu, ton bas-ventre
Est le seul qui chasse la paresse
De mon être. Sans flatterie
Je dis fort, tu es la plus belle !
Ce jour, tu es apparue palie
Par les échos et les querelles
Que les autres disent sans
Raison, pour flétrir le collier
Qui t’embellit gratuitement,
Perturber ton esprit et lier
Ton destin avec l’amertume
De l‘absinthe. Tu sais bien !
Sans la rose qui te parfume
Je disparais vite sans rien
Sentir sur le visage solaire
Qui m’a tellement fasciné.
Me croyant jeune et solitaire
J’ai cru, qu’avec ta fidélité
Tu seras ma sage duègne
Et je serai ton jeune amant
De plaisir tout en étant digne
D’envoûter ton cœur aimant.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3672
Date d'inscription : 02/07/2010
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