Je cherche toujours le verbe divin
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Je cherche toujours le verbe divin
Je cherche toujours le verbe divin
Ne me jugez pas sur le solécisme
Fréquent qui caractérise mon langage,
Mais, percevez surtout le vandalisme
Qui mène le monde au naufrage.
Je cherche toujours le verbe divin
Qui persuade à observer les peuples
Opprimés en restant le modeste écrivain
Qui laisse l’esprit continuer son périple.
Devant ces massacres faits au nom
De la démocratie, mon cœur pressé
Par l’œil envoûtant reflétant la déraison
Saisit ce monde bien dispensé.
Les manigances changent le paysage
En champs des conflits perpétuels
Lorsque le peuple n’a pas le courage
De situer avec justesse ce mal universel.
On décrit le bien par la langue du mal,
Les mots sont chassés de leurs lieux,
Chaque bouche devient le four shogunal
Dont la flamme se prolonge aux cieux.
Excusez-moi ! Je n’aime pas
Le silence des peuples, l’arrogance
Des tyrans et les savants délicats
Qui acceptent les faits avec réticence.
Je désire bien me retirer de la foule
Et rejoindre les habitants de l’air
Pour battre les ailes et ôter les cagoules
De tous ces gueux mystificateurs.
Je plane entre le ciel et la terre
Ou je me pose en solitaire, mon cœur
Porte les pleurs des enfants sans pères
Qui n’ont jamais connu la rancœur.
Des enfants qui ignorent les nuances
De l’expression, les sourires impurs
Les règles fondamentales de l’éloquence
Et les frémissements des ramures.
Dad Allaoua
Ne me jugez pas sur le solécisme
Fréquent qui caractérise mon langage,
Mais, percevez surtout le vandalisme
Qui mène le monde au naufrage.
Je cherche toujours le verbe divin
Qui persuade à observer les peuples
Opprimés en restant le modeste écrivain
Qui laisse l’esprit continuer son périple.
Devant ces massacres faits au nom
De la démocratie, mon cœur pressé
Par l’œil envoûtant reflétant la déraison
Saisit ce monde bien dispensé.
Les manigances changent le paysage
En champs des conflits perpétuels
Lorsque le peuple n’a pas le courage
De situer avec justesse ce mal universel.
On décrit le bien par la langue du mal,
Les mots sont chassés de leurs lieux,
Chaque bouche devient le four shogunal
Dont la flamme se prolonge aux cieux.
Excusez-moi ! Je n’aime pas
Le silence des peuples, l’arrogance
Des tyrans et les savants délicats
Qui acceptent les faits avec réticence.
Je désire bien me retirer de la foule
Et rejoindre les habitants de l’air
Pour battre les ailes et ôter les cagoules
De tous ces gueux mystificateurs.
Je plane entre le ciel et la terre
Ou je me pose en solitaire, mon cœur
Porte les pleurs des enfants sans pères
Qui n’ont jamais connu la rancœur.
Des enfants qui ignorent les nuances
De l’expression, les sourires impurs
Les règles fondamentales de l’éloquence
Et les frémissements des ramures.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3672
Date d'inscription : 02/07/2010
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