Embrasse ce qui est commun
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Embrasse ce qui est commun
Embrasse ce qui est commun
Embrasse ce qui est commun
À tous et voyage inlassablement,
Ta destination est là où les chemins
Des êtres se croisent joyeusement
Pour mettre la vérité en lumière
Du jour. Sillonne la terre nuit
Et jour, ta direction demeure
Constamment là où le soleil luit,
Là où la vision s’enfouie derrière
L’horizon mystérieux qui répande
Perpétuellement la lumière
Faste sur la terre sainte et ronde.
Voyage partout où ton âme
Se purifie par la chaleur humaine,
Partout où tes mains par un calame
Abolissent les pensées hautaines
Génératrices des grandes illusions,
Qui détruisent tous les vivants.
Nul ne peut empêcher la raison
De s’évanouir dans le soleil levant,
Ni de retenir la liberté captive
Dans des songes confus et lourds.
Dans la raison, l’oiseau céleste
Consolide l’espérance et l’amour
Par un souffle libérateur certain,
Qui panse les plaies profondes
Et met les esprits dociles d’humain
Hors des ambiances infécondes.
Que les astres soient témoins
De cette attention que tu donnes,
À la paix, même si tu restes loin
De la pureté qui la couronne,
À toi, elle s’impose en source,
Où jaillissent les formes du beau
Et se métamorphose en force
La tendresse sous le flambeau
éternel de la bienfaisance, qui luit
Au fond des êtres, pour chasser
L’ombre qui envahit tes nuits
Et t’entraîne dans l’insensé.
Dad Allaoua
Embrasse ce qui est commun
À tous et voyage inlassablement,
Ta destination est là où les chemins
Des êtres se croisent joyeusement
Pour mettre la vérité en lumière
Du jour. Sillonne la terre nuit
Et jour, ta direction demeure
Constamment là où le soleil luit,
Là où la vision s’enfouie derrière
L’horizon mystérieux qui répande
Perpétuellement la lumière
Faste sur la terre sainte et ronde.
Voyage partout où ton âme
Se purifie par la chaleur humaine,
Partout où tes mains par un calame
Abolissent les pensées hautaines
Génératrices des grandes illusions,
Qui détruisent tous les vivants.
Nul ne peut empêcher la raison
De s’évanouir dans le soleil levant,
Ni de retenir la liberté captive
Dans des songes confus et lourds.
Dans la raison, l’oiseau céleste
Consolide l’espérance et l’amour
Par un souffle libérateur certain,
Qui panse les plaies profondes
Et met les esprits dociles d’humain
Hors des ambiances infécondes.
Que les astres soient témoins
De cette attention que tu donnes,
À la paix, même si tu restes loin
De la pureté qui la couronne,
À toi, elle s’impose en source,
Où jaillissent les formes du beau
Et se métamorphose en force
La tendresse sous le flambeau
éternel de la bienfaisance, qui luit
Au fond des êtres, pour chasser
L’ombre qui envahit tes nuits
Et t’entraîne dans l’insensé.
Dad Allaoua
Dad Allaoua- Messages : 3672
Date d'inscription : 02/07/2010
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